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Banlieue de Damas-SANA/A l’approche de la saison de la récolte de la Rose damascène, qui est devenue un symbole patrimonial et esthétique en Syrie, la Direction de l’agriculture dans la banlieue de Damas a achevé la mise en œuvre de son plan d’expansion de la culture de cette rose.
Dans une déclaration à la correspondante de SANA, le directeur de l’agriculture dans le gouvernorat de la banlieue de Damas, Irfan Ziadé, a fait savoir que la culture de la Rose damascène se concentre principalement à Nabek et dans les localités et les villages périphériques, notamment dans le village d’al-Marah, dont le nom est lié à la Rose damascène, en plus des zones d’Al-Tal et Yabroud et al-Ghouta, faisant noter que la superficie totale plantée en cette rose dans la zone de Nabek et ses villages est maintenant d’environ 300 hectare.
Sur le plan d’expansion mis en œuvre par la Direction pour la culture de la Rose damascène, Ziadé a fait noter que 8 000 implants gratuits avaient été livrés à l’Association de la Rose damascène affilié au Trust syrien pour le développement, dont 3850 ont été implantés à al-Tal et 3500 implantés dans le village de Jubbah dans la zone de Yabroud.
Il a ajouté que le plan de la Direction pour cette année avait été exécuté à Ghouta est, sur une superficie de 20 dunums.
Il est à noter que la Rose damascène s’était inscrite en 2019 sur la liste du patrimoine humain immatériel de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture « UNESCO ».
R.khallouf/ R.F.
