Madrid-SANA/ Le chercheur et professeur à l’Université Complutense de Madrid, a affirmé que la coupure préméditée et continue de l’eau potable à Hassaké est un crime et une transgression des lois et des normes internationales.
« Cet acte condamné représente un crime contre les droits humains des peuples, en particulier le droit d’avoir l’eau comme élément essentiel de la vie », a-t-il déclaré au correspondant de l’Agence Sana à Madrid.
Sabbagh a souligné que la Communauté internationale doit clairement condamner les pratiques du régime turc et des groupes mercenaires, ainsi que les crimes des réseaux terroristes soutenus par l’Occident, dont à la tête les Etats-Unis, qui commettent les crimes et les violations contre le peuple syrien.
R.Bittar