New York /Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a affirmé que la Syrie n’avait pas demandé de mener des frappes aériennes contre “l’EIIL” mais elle a été déjà informée de ces frappes.
Lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui avec le Président français, François Hollande, Ki-moon a souligné qu’il ne faut pas nier que les “groupes extrémistes” représentent une menace imminente sur la paix et la sécurité internationales, selon Reuters.
R.F. / M.Ch.