Damas / Le général Mohammad Chaar, ministre de l’intérieur, président de la commission nationale des affaires des stupéfiants, a indiqué que les risques de la propagation du phénomène des stupéfiants dépassent ceux des guerres et des catastrophes.
Lors d’un colloque national organisé aujourd’hui à Damas par la commission médiatique de la lutte contre le phénomène des stupéfiants, le général Chaar a affirmé que la guerre terroriste déclenchée contre la Syrie ne portera pas atteinte à sa détermination à lutter contre les stupéfiants, mettant en exergue l’héroïsme de l’armée arabe syrienne et les forces de sécurité intérieure qui sont résolues à expulser les terroristes.
“La Syrie n’épargnera aucun effort contribuant à la lutte contre le phénomène des stupéfiants au niveau local ou mondial”, a-t-il dit.
Le général Chaar a fait noter que la Syrie est un passage essentiel des stupéfiants, mais elle conserve la rareté de la propagation de ces poisons concernant la culture, la fabrication et le commerce.
Il a fait savoir que la Syrie avait adopté plusieurs mesures pratiques et efficaces depuis deux décennies pour lutter contre ce phénomène, notamment la loi sur les stupéfiants N°2 de l’an 1993 qui inclut des articles stricts atteignant la peine capitale à l’encontre de l’agriculteur et du promoteur.
A. Chatta