Le ministre des Affaires étrangères et des Expatriés, Fayçal al-Miqdad, dans une déclaration lors de la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies sur l’arrêt des mesures économiques coercitives unilatérales, lue par l’ambassadeur permanent de Syrie, Qussay al-Dahhak : Les mesures coercitives unilatérales représentent un outil de coercition, de pression économique et de chantage politique en violation de la Charte qui a consacré le principe de l’égalité de souveraineté entre les nations et a mis en avant l’accomplissement de la coopération internationale et la promotion des affaires économiques et sociales des peuples.