Damas : La répétition par certains pays occidentaux de leurs positions négatives devant la “8e conférence de Bruxelles” confirme leur poursuite de politiques erronées à l’égard de la Syrie

Damas- SANA / La Syrie a affirmé que la répétition par certains pays occidentaux de leurs positions négatives devant la soi-disant “huitième conférence de Bruxelles” est un témoignage de leur poursuite de politiques erronées à l’égard d’elle, soulignant que ces positions ont pour but d’éloigner l’attention des véritables causes du souffrance des Syriens, représentées par le soutien aux réseaux terroristes et l’imposition de mesures inhumaines contre le peuple syrien.

Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a déclaré : “Une fois de plus, certains pays occidentaux réitèrent leurs positions négatives devant la soi-disant “huitième conférence de Bruxelles” sur le “soutien à l’avenir de la Syrie et de la région”, lesquelles confirment leur poursuite de politiques erronées entreprises à l’égard de la Syrie pendant plus de dix ans et jusqu’à présent et fondées sur leurs faux récits et leurs intentions malveillantes.

Le ministère a ajouté : “Les positions de ces pays visent à éloigner l’attention des véritables causes du souffrance des Syriens, notamment le soutien aux réseaux terroristes, y compris ceux inscrits sur la liste du Conseil de sécurité, la facilitation du pillage des richesses nationales et l’imposition des mesures inhumaines contre le peuple syrien”.

Le ministère a expliqué que, par contre, contrairement à l’approche non acceptée que les organisateurs de la conférence avaient adoptée, les positions objectives exprimées par certains pays pendant la conférence ont montré la nécessité d’adopter une approche différente qui se concentre sur le soutien aux efforts pour renforcer les projets de rétablissement précoce, ainsi que le soutien à la fermeté, ce qui contribuerait au progrès de la situation humanitaire et économique des Syriens et permettrait aux réfugiés syriens de retourner dignement dans leur patrie.

En fin de communiqué, le ministère a souligné l’importance de financer le plan d’action des Nations Unies pour répondre aux besoins humanitaires en Syrie, loin d’aucune considération politique ou agenda étroit promu par les pays occidentaux.

A.Ch.