Damas-SANA/ La Première Dame Asmaa al-Assad a affirmé que la détection précoce de la déficience auditive chez les nouveau-nés est possible et disponible, et que les résultats du traitement sont très efficaces, notant qu’il s’agit d’une responsabilité partagée et constitue l’esprit du programme national de détection et d’intervention précoce pour la déficience auditive chez les nouveau-nés.
C’était lors d’une allocution prononcée par la Première Dame aujourd’hui lors du lancement du programme national de détection et d’intervention précoces pour la déficience auditive chez les nouveau-nés.
Madame Asmaa a dit « si le Programme national de détection et d’intervention précoces de la déficience auditive chez les nouveau-nés, que nous lançons aujourd’hui, constitue une avancée importante dans le domaine de la santé, il est aussi une incarnation vivante des politiques de santé publique que la Syrie a commencé à poursuivre à un rythme accéléré. Bien que les défis au niveau national soient grands et nombreux, ils n’ont pas et ne seront pas une justification pour ne pas avancer, à divers niveaux et dans divers domaines ».
Et la Première Dame d’ajouter : ” Un enfant qui manque d’audition est également incapable de parler, incapable de communiquer ou d’interagir avec son entourage, incapable d’apprendre ou de se développer. C’est un fardeau pour sa famille, sa société et sa patrie, sans avoir commis de faute, mais plutôt par négligence de notre part, de la famille, de la société ou de l’État, surtout que la détection précoce de cette maladie est possible et disponible, et les résultats du traitement sont largement efficaces si l’intervention appropriée est faite, en temps opportun, de sorte que la responsabilité incombe à nous tous”.
La Première Dame a conclu en disant « accomplissons notre devoir envers ces enfants, en tant que famille, société et institutions, afin que l’objectif le plus élevé soit atteint et que chaque enfant puisse faire entendre sa voix ».
R.Kahllouf / M.Ch.