New York / Bachar Jaafari, délégué permanent de la Syrie auprès de l’ONU, a affirmé que certains pays ignorent que les politiques erronées de leurs gouvernements envers la Syrie étaient la raison principale de la détérioration de la souffrance de la femme syrienne, après l’implication de ces gouvernements dans le financement du terrorisme, la facilité de l’accès des terroristes via les frontières, la garantie du financement et de l’armement publics des réseaux terroristes et la création des camps pour entraîner les terroristes avant de les envoyer en Syrie en vue d’y perpétrer leurs crimes.
Dans un communiqué qu’il a lu aujourd’hui devant la 59ème session de la commission de la situation de la femme au siège de l’ONU à New York, Jaafari a fait allusion aux actes terroristes qui visent la femme syrienne après le début de la crise en Syrie.
Jaafari a également abordé les fatwas immorales, notamment celle du “Djihad de sexe”, à l’ombre d’un mutisme international.
Il a souligné la nécessité que l’ONU octroie toute aide au gouvernement syrien en vue d’autonomiser la femme économiquement et socialement.
Jaafari a conclu son communiqué en appelant les pays membres à soutenir la lutte des femmes en Palestine occupée et au Golan syrien occupé contre l’occupant israélien qui viole leurs droits.
A. Chatta