Damas-SANA / Le président Bachar al-Assad a reçu aujourd’hui des télégrammes de condoléances pour le décès du vice-président du Conseil des ministres, ministre des AE et des Expatriés, Walid Mouallem.
Dans son télégramme, le conseiller du Guide suprême de la Révolution islamique en Iran, Ali Larijani, a présenté ses sincères condoléances pour le décès du ministre Mouallem, mettant en exergue le rôle inoubliable du défunt ministre dans la lutte contre le terrorisme takfiriste et dans la consolidation de la sécurité de la région.
Dans un autre télégramme, le président du Parti de la Patrie turc, Dogu Perincek, a souligné que le défunt ministre, Walid Mouallem était un homme d’Etat expert, une personnalité extraordinaire, et un ami du peuple turc et de la République turque.
Pour sa part, le Secrétaire général du Congrès général des partis arabes, Kassem Saleh, a dit : « La patrie a perdu par la disparition de Mouallem une grande personnalité dans l’histoire politique et diplomatique », assurant que sa disparition n’était pas uniquement une grande perte pour le peuple syrien, mais aussi pour le peuple turc et tous les peuples dans la région.
Le président du Haut Conseil islamique Chiite au Liban, cheikh Abdel Amir Kabalan, a indiqué que par la disparition du ministre Mouallem, la Nation a perdu l’un des diplomates arabes les plus importants qui défendent les justes causes de leur nation.
En outre, le Front de l’action islamique au Liban a fait savoir dans son télégramme que Mouallem était un exemple à suivre dans la fermeté et l’honnêteté dans la confrontation des conspirations américaines visant la Syrie et son peuple.
Le secrétaire général du Mouvement de la lutte nationale en Tunisie, Mongi Makni, a affirmé que le défunt ministre était un grand symbole dans les positions nationales honorables s’attachant à la résistance et rejetant la capitulation.
Quant au secrétaire général du Mouvement du Jihad islamique en Palestine, Ziyad al-Nakhala, a présenté les plus sincères condoléances pour le décès du ministre Mouallem, qui était l’un des piliers de la diplomatie arabe en général et syrienne en particulière.
A.Ch.