Capitales – SANA / Des personnalités politiques et parlementaires d’Amérique latine ont affirmé que les mesures économiques occidentales coercitives unilatérales imposées à la Syrie constituent une violation de la légalité internationale et du droit international et un crime contre l’humanité, notamment à l’ombre de la propagation de l’épidémie du coronavirus.
Le président du commission d’amitié Chili-Syrie au parlement chilien, le sénateur Fransisco Shahwan, a indiqué, dans une déclaration au correspondant de SANA, que l’Occident, qui impose les mesures coercitives injustes à la Syrie, prétend les droits de l’homme.
Pour sa part, la présidente de l’organisation continentale latino-américaine et caraïbéenne des étudiants, Flavia Villareal Soler, a qualifié d’« un acte irresponsable et inhumain » l’imposition à nouveau par l’Union européenne de mesures coercitives unilatérales à la Syrie, affirmant l’importance de lever l’embargo injuste imposé à la Syrie, notamment à l’ombre de la propagation de coronavirus.
Le secrétaire général du Comité international pour la solidarité et la lutte pour la paix au Venezuela, Gabriel Aguerri, a réitéré le soutien de tous les libres dans le monde à la Syrie.
Pour sa part, la présidente du groupe d’amitié Cuba-Syrie au parlement cubain, Lisara Liliam Oliveros, a condamné les mesures injustes imposées à la Syrie, appelant à les lever immédiatement, notamment à l’ombre de la propagation de coronavirus qui menace le monde entier.
M.H./ R.F.