Genève-SANA / La Syrie a affirmé que les mesures coercitives et unilatérales imposées à elle sont non-juridiques et immorales, constituent une violation du droit de l’homme et entravent les efforts de la lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus.
Dans un message adressé par l’ambassadeur permanent de la Syrie à l’ONU à Genève, Hussam Eddine Ala, au haut-commissaire aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, la Syrie a précisé que les mesures imposées à la Syrie entravent les efforts gouvernementaux dans la fourniture des besoins de première nécessité pour exécuter les mesures préventives adoptées par le gouvernement syrien en vue de protéger ses citoyens des risques de l’infection au coronavirus.
L’ambassadeur Ala a fait savoir que l’insistance des Etats-Unis et de l’Union européenne sur le recours aux mesures non-juridiques et immorales viole les droits de l’homme, entrave l’exécution des objectifs de développement pour l’an 2030 et les efforts de développement durable dans les pays visés et se contredit avec les allégations de la solidarité mondiale et des appels à la consolidation de la coopération internationale dans la lutte contre la pandémie de coronavirus.
A.Ch.