Paris – SANA / Le directeur du Fonds d’études sur les problèmes de la démocratie en Russie, Maxim Grigoriev, a fait noter que les actes du groupes terroriste des « casques blancs » visent à propager de fausses informations sur la situation en Syrie.
Cité par l’agence russe Tas, Grigoriev a souligné, lors d’un exposé donné à Paris sur les données collectées par le Fonds, que les casques blancs, qui se présente en tant qu’une organisation non gouvernementale, avait propagé systématiquement une grande quantité d’informations erronées sur la Syrie.
Il a ajouté que les photos qu’on voit régulièrement aux réseautages confirment que les «casques blancs» étaient directement impliquées dans les attaque chimiques à côté des groupes armés en Syrie.
Il a fait savoir que les casques blancs avaient employé les corps des otages exécutés par les terroristes pour filmer des séquences de vidéo sur les attaques chimiques présumées, ajoutant que des personnes, dont des enfants et des femmes, avaient été délibérément exécutés pour cet objectif.
Il a, enfin, souligné que le rapport mis au point par le Fonds se base sur des rencontres avec un grand nombre d’habitants dans des zones où se déploient le groupe terroristes de «casques blancs».
L.A.