Damas-SANA / Le Golan arabe syrien occupé fait partie intégrale de la Syrie et retournera sous sa souveraineté tôt ou tard.
Toutes les résolutions de l’ONU, en particulier la résolution du Conseil de sécurité N°497 de l’an 1981, affirment que le Golan est un territoire syrien occupé et que la décision de l’entité d’occupation israélienne usurpatrice sur son annexion est « nulle et non avenue ».
Depuis 1981, où l’entité d’occupation israélienne avait décidé d’annexer le Golan, l’Assemblée général de l’ONU a adopté des dizaines de résolutions confirmant que les mesures et les plans des autorités d’occupation d’imposer leurs lois au Golan syrien occupé sont « nulles et non avenues » et garantissant le droit de la Syrie de reprendre tout pouce du Golan occupé.
Après cette date, tous les documents de l’ONU et les communiqués des membres de l’Organisation onusienne, dont les Etats-Unis, ont assuré que le Golan est occupé. Mais, dès l’arrivée du président américain, Donald Trump, et son administration au pouvoir, Washington a changé sa politique vis-à-vis de l’occupant israélien et a pris des mesures le soutenant.
Le début était la décision de cette administration de transférer son ambassade à al-Qods et ensuite sa tentative d’annuler le statut d’occupation du Golan syrien et des territoires palestiniens occupés en 1967, ce qui constitue une partialité, un soutien illimité à l’entité d’occupation israélienne et une transgression flagrante de la légalité internationale.
Les tentatives des Etats-Unis et de l’entité d’occupation de changer l’aspect du Golan syrien occupé seront vouées à l’échec, vu que la lutte de nos compatriotes au Golan se poursuit depuis la Grève générale, annoncée en 1982.
En dépit de la tentative de l’occupant israélien de voler les territoires du Golan, les Golanais continuent à confronter tous les plans de l’occupant, dont le dernier était les soi-disant « élections des Conseils locaux », puisqu’ils ont mis le feu en octobre dernier dans les bulletins électoraux.
Les Golanais ont également rejeté l’établissement d’un nouveau projet colonial, celui des turbines éoliennes, sur une superficie estimée à 6 mille dunum dans la périphérie des villages de Majdal Chams, Ain Qenya, Baqaatha et Massada.
L’occupant œuvre via ce projet de déplacer les Golanais de leurs villages et de s’emparer de leurs terres par force.
La Syrie a à plusieurs reprises affirmé que le Golan syrien occupé fait partie de ses territoires et constitue un droit constant non-négociable et qu’elle œuvrera pour le reprendre par tous les moyens disponibles.
A.Chatta