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Homs- Sana /La ville de Palmyre a toujours été conçue comme une oasis apparue au milieu du désert syrien, mais de nombreuses questions se posent sur la manière de vie dans cette ville située au cœur d’un désert infertile.
Les anciens Palmyréniens eurent construit des réseaux et des canaux pour capturer et stocker les précipitations des tempêtes saisonnières soudaines et pour acheminer l’eau de l’extérieur de la ville vers les maisons, les temples, les églises et les bains.
Le secrétaire du Musée de la Palmyre, Khalil al-Hariri, a déclaré au correspondant de SANA que les Palmyréniens eurent également construit un réseau d’eau potable, ajoutant que la ville de Palmyre était riche en sources alimentant la ville en eau potable.
Les Palmyréniens eurent utilisé des canaux pour acheminer l’eau à partir de la région d’Abou al-Fawares, située à 5 km de la ville, où se trouvent des canaux qui se prolongeaient sur la route archéologique menant à la vallée d’ al-Qoubour.
Al-Hariri a ajouté qu’il existe un canal principal utilisé pour acheminer l’eau vers les bains publics de la reine Zénobie, qui couvre une superficie de 4 000 mètres carrés, faisant savoir que les Palmyréniens étaient également intéressés par la construction de canaux de drainage souterrains, car il y avait des trous entre les pierres alignées à travers lesquelles on pouvait voir des pipelines en pierre utilisés pour le drainage.
Razane/R.B.
